09.2024
Lauréat du Prix Matsutani 2024
Sur invitation du fonds de dotation SHŌEN, l’artiste Hélène Delprat a nommé quatre artistes : Mathieu Bonardet, Anaïs Fontanges, Olivier Garraud et Sacha Teboul. La remise du Prix Matsutani aura lieu le samedi 17 octobre 2024 à 18h30 au sein d'Asia NOW Paris.
Créé en 2017 par les artistes Kate Van Houten et Takesada Matsutani et visant à aider un artiste dans le développement de son œuvre, le Prix Matsutani du fonds de dotation SHŌEN consiste principalement en une bourse, remise une fois tous les ans à un artiste. Ce prix fait écho à celui qu’a reçu Matsutani en 1966 alors qu'il n'avait jamais quitté le Japon et qui lui a permis de venir en France participer activement à la scène artistique internationale.
Dossier de présentation
Sur invitation du fonds de dotation SHŌEN, l’artiste Hélène Delprat a nommé quatre artistes : Mathieu Bonardet, Anaïs Fontanges, Olivier Garraud et Sacha Teboul. La remise du Prix Matsutani aura lieu le samedi 17 octobre 2024 à 18h30 au sein d'Asia NOW Paris.
Créé en 2017 par les artistes Kate Van Houten et Takesada Matsutani et visant à aider un artiste dans le développement de son œuvre, le Prix Matsutani du fonds de dotation SHŌEN consiste principalement en une bourse, remise une fois tous les ans à un artiste. Ce prix fait écho à celui qu’a reçu Matsutani en 1966 alors qu'il n'avait jamais quitté le Japon et qui lui a permis de venir en France participer activement à la scène artistique internationale.
08.2024
Reprise, exposition personnelle du 3 au 31 août 2024, à NIXXXON (Mexico City)
commissariat : Hernán A. Cortés — Vernissage le 3 août 2024 de 11h à 16h
NIXXXON présente Reprise, la première exposition personnelle de l'artiste franco-belge Mathieu Bonardet (1989) au Mexique. Cette exposition relate l’approche que l'artiste entreprend depuis plus de dix ans avec le dessin. Dans son travail, le dessin découle de la relation intrinsèque qu’entretient l'action du corps, le geste, à la trace, et notamment avec comme matière première, le graphite.lire la suite du texte de Hernán A. Cortés
NIXXXON présente Reprise, la première exposition personnelle de l'artiste franco-belge Mathieu Bonardet (1989) au Mexique. Cette exposition relate l’approche que l'artiste entreprend depuis plus de dix ans avec le dessin. Dans son travail, le dessin découle de la relation intrinsèque qu’entretient l'action du corps, le geste, à la trace, et notamment avec comme matière première, le graphite.
06.2024
≃
solo show à Liaigre du 9 juillet au 21 septembre 2024 sur une invitation et un commissariat de Carlos Sicilia Le vernissage sera organisé après les JO mais l'exposition est d'ores et déjà ouverte du mardi au samedi de 11h à 19h durant tout l'été (sans interruption) au 77 rue du Faubourg Saint-Honoré≃
Ce signe mathématique, non-rencontre d’une ligne courbe et d’une ligne droite, lu comme « à peu près égal », évoque d’emblée l’essentiel du travail de Mathieu Bonardet : un rapport à l’interstitiel, au dédoublement, à la répétition du geste, à un même qui n’est jamais le même, et un lien à la géométrie, rendue ici sensible.
06.2024
Le rocher de Sisyphe, exposition collective avec Nelson Aires, Samuel Aligand, Estèla Alliaud, Mathieu Bonardet, Dylan Caruso, Stéphani Hab, Sarah Krespin, Franck Mas, Hélène Néraud, Raphaëlle Peria, Floriane Pilon.
Exposition du 1er au 9 juin 2024 — Vernissage le samedi 1er juin 2024 de 14h à 21h aux Ateliers Babiole / Le Village(Ivry-sur-Seine)
Exposition du 1er au 9 juin 2024 — Vernissage le samedi 1er juin 2024 de 14h à 21h aux Ateliers Babiole / Le Village
06.2024
Jeux Optiques, exposition collective avec Mathieu Bonardet, Francesc Bordas, John Carter, Ivan Contreras-Brunet, Sophie Coroller, Carlos Cruz-Diez, Clara Daguin, Danny Esquenazi, Gerhard Frömel, Ueli Gantner, Gerhard Hotter, Nathalie Junod Ponsard, Anneke Klein Kranenbarg, Claudia Lavegas, Alain-Jacques Levrier Mussat, Alain Longuet, Carole Picavet, Hanna Roeckle, Diet Sayler, Satoru, Mehdi Sioud, Jesús Rafael Soto, Gaby Terhuven, Michel Tombroff, Wilmer Useche, Victor Vasarely, Roger Vilder, Irene Zundel
à la Galerie Florence Wagner(Paris)
Vernissage le jeudi 6 juin 2024 de 18h à 21h
à la Galerie Florence Wagner
Vernissage le jeudi 6 juin 2024 de 18h à 21h
05.2023
GÉNÉRATIONS INTUITIVES, exposition collective sur une invitation de Florence Wagner avec Charles Bézie, Mathieu Bonardet, Miguel Chevalier, Sophie Coroller, Ueli Gantner, Gerhard Hotter, Nathalie Junod Ponsard, Ulysse Lacoste, Alain Longuet, Jaildo Marinho, Carole Picavet, Hanna Roeckle, Satoru Sato, Diet Sayler, Mehdi Sioud, Roger Vilder.
Exposition jusqu'au 23 juillet à l'institut Poincaré(Paris)
Exposition jusqu'au 23 juillet à l'institut Poincaré
11.2023
Le pays où le ciel est toujours bleu m’invite à investir La borne, microarchitecture itinérante en région Centre - Val de Loire, du 9 novembre au 2 décembre. J’y présente Polpyptyque pour ligne d’horizon IV spécialement conçu pour cet espace.
07.2023
La galerie ETC présentera Polpyptyque pour ligne d’horizon lors de la prochaine exposition collective d’été du 1er juillet au 23 septembre (fermeture de la galerie en août) aux cotés de Claude Chaussard, Vincent Dulom, Eve Gramatzki, Emmanuelle Leblanc et Charles Pollock.
Cette pièce initialement réalisée en 2011, sera recrée pour l'occasion et montrée à la galerie dans une nouvelle configuration. Polyptyque pour ligne d'horizon a été une pièce charnière pour laquelle j'avais eu le privilège de recevoir le Prix des amis des Beaux-Arts : agnès b.
Cette pièce initialement réalisée en 2011, sera recrée pour l'occasion et montrée à la galerie dans une nouvelle configuration. Polyptyque pour ligne d'horizon a été une pièce charnière pour laquelle j'avais eu le privilège de recevoir le Prix des amis des Beaux-Arts : agnès b.
05.2023
La galerie ETC participe à BAD Art Fair et présente mon travail aux cotés de celui de Jean Degottex, Claude Chaussard, Eve Gramatzki, Charles Pollock, Stéphane Bordarier, Lina Ben Rejeb, Albert Hirsch, René Guiffrey et Frédéric Benrath. (Bordeaux)
03.2023
Boustrophédon, exposition à trois avec les travaux de Lina Ben Rejeb et d’Adrien Couvrat.
Du grec boustros, bœuf et strophein, tourner (qui a également donné la strophe de nos poèmes, laquelle tourne pour revenir à la ligne), le boustrophédon désigne un style d’écriture, donc de lecture, où le texte se déploie en continu sur la page, de gauche à droite puis de droite à gauche (et à l’envers), à la manière des allers et retours successifs du bœuf labourant un champ. Le boustrophédon implique donc non seulement un déplacement physique en forme de va-et-vient mais aussi un double-sens, de lecture comme potentiellement de signification. En 2020 Lina Ben Rejeb, Mathieu Bonardet et Adrien Couvrat ont tous trois profité de l’espace mental créé par le confinement pour entreprendre une incursion figurative doublée d’un regard historique. L’évidence des liens entre leurs démarches a amené Lina Ben Rejeb à en initier une présentation commune, alors que la lecture du Discours de la servitude volontaire de La Boëtie l’interrogeait sur la notion de collectif en art. Boustrophédon propose au regardeur de suivre le même mouvement pendulaire entre une première pièce, studiolo consacré à cette respiration figurative, et une seconde plus minimale qui constitue le « cœur » de la pratique des trois artistes.extrait du texte de Xavier Bourgine
Du grec boustros, bœuf et strophein, tourner (qui a également donné la strophe de nos poèmes, laquelle tourne pour revenir à la ligne), le boustrophédon désigne un style d’écriture, donc de lecture, où le texte se déploie en continu sur la page, de gauche à droite puis de droite à gauche (et à l’envers), à la manière des allers et retours successifs du bœuf labourant un champ. Le boustrophédon implique donc non seulement un déplacement physique en forme de va-et-vient mais aussi un double-sens, de lecture comme potentiellement de signification. En 2020 Lina Ben Rejeb, Mathieu Bonardet et Adrien Couvrat ont tous trois profité de l’espace mental créé par le confinement pour entreprendre une incursion figurative doublée d’un regard historique. L’évidence des liens entre leurs démarches a amené Lina Ben Rejeb à en initier une présentation commune, alors que la lecture du Discours de la servitude volontaire de La Boëtie l’interrogeait sur la notion de collectif en art. Boustrophédon propose au regardeur de suivre le même mouvement pendulaire entre une première pièce, studiolo consacré à cette respiration figurative, et une seconde plus minimale qui constitue le « cœur » de la pratique des trois artistes.
03.2023
La galerie Michèle Schoonjans participe à Art on Paper Amsterdam et présente mon travail aux cotés de celui d’Amélie Scotta et Laurent Dumortier. du 16.03 au 19.03 (Amsterdam)
01.2023
Duo show Tilt avec Tom Henderson du 15 janvier au 25 février 2023 à la galerie Michèle Schoonjans à Bruxelles — vernissage le 15 janvier de 14h à 19h.
11.2022
Duo show Didiplopie avec Marine Pagès le 18, 19 et 20 novembre de 14h à 19h dans le cadre des Moments artistiques de Christian Aubert.
09.2022
Réouverture de Isométrie à la galerie ETC (Paris) et nouvelle publication du même nom — Lancement du catalogue le jeudi 8 septembre à 19h.
Le catalogue est désormais disponible au prix de 17€, en vente à la galerie ETC
Français / Anglais
Textes : Elora Weill-Engerer et Guitemie Maldonado
Traduction : Heather Seavey & Laura Barthélémy
64 pps., 50 ills.
Edition Galerie ETC
© Mathieu Bonardet, Origins Studio, Samuel Chasseur
Dessins et sculptures cohabitent dans l’espace de la galerie ETC suivant un jeu de dédoublement ou de répétition des formes. Qu’il s’agisse d’œuvres sur papier ou de métal, la même mesure fait surgir des différences, à travers les vibrations des lignes tracées à main levée (série Isometría) ou dans le contraste entre la rigidité et la courbure de deux tôles d’aluminium de mêmes dimensions (série I/U). Pour sa première exposition personnelle à la galerie ETC, Mathieu Bonardet livre une exposition où la rigueur n’excepte pas la sensibilité.
Le catalogue est désormais disponible au prix de 17€, en vente à la galerie ETC
Textes : Elora Weill-Engerer et Guitemie Maldonado
Traduction : Heather Seavey & Laura Barthélémy
64 pps., 50 ills.
Edition Galerie ETC
© Mathieu Bonardet, Origins Studio, Samuel Chasseur
Dessins et sculptures cohabitent dans l’espace de la galerie ETC suivant un jeu de dédoublement ou de répétition des formes. Qu’il s’agisse d’œuvres sur papier ou de métal, la même mesure fait surgir des différences, à travers les vibrations des lignes tracées à main levée (série Isometría) ou dans le contraste entre la rigidité et la courbure de deux tôles d’aluminium de mêmes dimensions (série I/U). Pour sa première exposition personnelle à la galerie ETC, Mathieu Bonardet livre une exposition où la rigueur n’excepte pas la sensibilité.
07.2022
Isométrie, exposition personnelle, commissariat : Elora Weill-Engerer, du 01.07 au 24.09 (fermeture en août) à la galerie ETC (Paris) — Vernissage le vendredi 1er juillet de 18h à 21h.
03.2022
L’exposition collective LE PARTAGE D’UNE PASSION POUR LE DESSIN dévoile un ensemble exceptionnel de 90 dessins, entrés dans les collections de l'École grâce à la générosité de l'association « Le Cabinet des amateurs de dessins des Beaux-Arts de Paris ». L'exposition est organisée à l'occasion des quinze ans de l'association, qui a permis d'acquérir plus de 200 chefs-d'œuvre depuis 2006.
Mathieu Bonardet fut le premier Lauréat du Prix du dessin contemporain créé en 2013, récompensant un jeune artiste des Beaux-Arts de Paris dont une œuvre est offerte et vient enrichir à cette occasion le fonds de l’École.
Elle débutera le 22 mars et durera jusqu’au 24 avril 2022 aux Beaux-Arts de Paris — Vernissage le mardi 22 mars de 18h à 21h.
Mathieu Bonardet fut le premier Lauréat du Prix du dessin contemporain créé en 2013, récompensant un jeune artiste des Beaux-Arts de Paris dont une œuvre est offerte et vient enrichir à cette occasion le fonds de l’École.
Elle débutera le 22 mars et durera jusqu’au 24 avril 2022 aux Beaux-Arts de Paris — Vernissage le mardi 22 mars de 18h à 21h.
03.2022
Nouvelle représentaiton par la galerie ETC à Paris.
L’exposition collective On Paper qui intégrera le dessin Pyramide III — au côté du travail de Stéphane Bordarier, Alan Charlto, Claude Chaussard, René Guiffrey, Albert Hirsch, Charles Pollock et Max Wechsler — marquera la première collaboration avec la galerie.
Elle débutera le 19 mars et durera jusqu’au 30 avril 2022 à la galerie ETC — Vernissage le samedi 19 mars de 14h à 20h.
L’exposition collective On Paper qui intégrera le dessin Pyramide III — au côté du travail de Stéphane Bordarier, Alan Charlto, Claude Chaussard, René Guiffrey, Albert Hirsch, Charles Pollock et Max Wechsler — marquera la première collaboration avec la galerie.
Elle débutera le 19 mars et durera jusqu’au 30 avril 2022 à la galerie ETC — Vernissage le samedi 19 mars de 14h à 20h.
02.2022
L’ensemble de dessins Gouffres 1-x, 2016 est présenté du 28 février au 5 juin 2022 au Museum of Art of Pudong, Shanghai dans le cadre de l’exposition The Territories of Water - 水之域.
Après le succès des Territoires de l'eau conçue avec le musée du quai Branly - Jacques Chirac présentée à Wattwiller l'été 2021, le riche dialogue entre la collection d'art contemporain de la Fondation et les œuvres extra-européennes de la grande institution parisienne se poursuit sur le sol shanghaien au coeur du nouveau musée conçu par Jean Nouvel dans la mythique baie de Pudong.
Voir les coulisses de l'exposition
Après le succès des Territoires de l'eau conçue avec le musée du quai Branly - Jacques Chirac présentée à Wattwiller l'été 2021, le riche dialogue entre la collection d'art contemporain de la Fondation et les œuvres extra-européennes de la grande institution parisienne se poursuit sur le sol shanghaien au coeur du nouveau musée conçu par Jean Nouvel dans la mythique baie de Pudong.
12.2021
Le travail de sculpture I/U apparait dans le catalogue monumental et richement illustré du ZKM | Karlsruhe. Ce volume aborde la sculpture moderne d'un point de vue spatial, l'interprétant à travers le contour, le vide et la lévitation plutôt que par les catégories conventionnelles de volume plein, de masse et de gravité.
10.2021
ÉCOUTE VOIR, exposition collective du vendredi 15 octobre au dimanche 21 novembre 2021 au Palais des Beaux-Arts de Paris.
«Cela a beau ne pas être la première fois, il est toujours surprenant de se faire interpeller par un tableau, où l’auteur a choisi de faire figurer un énoncé, quel qu’il soit. Que le tableau s’y raconte lui-même ou se fasse l’écho de la prose du monde, qu’il interroge l’acte de voir et la représentation, mette en cause l’existence de qui le regarde ou prenne celui-ci à témoin de la sienne, qu’il projette son spectateur (son vis-à-vis) dans l’imaginaire sans pour autant recourir à l’image, c’est bien toujours à lui, à nous, qu’il s’adresse. Quel que soit le registre adopté – grave ou drôle, poétique ou trivial, charmeur ou provocant – , un tel tableau suscite une situation de réflexivité et sans jouer au miroir, il me regarde, à savoir qu’il me rend mon regard autant qu’il me concerne. Plus encore qu’un autre, un tableau qui parle attend une réponse ; refusant le détour, il ne permet pas l’esquive.» Guitemie Maldonado.
«Cela a beau ne pas être la première fois, il est toujours surprenant de se faire interpeller par un tableau, où l’auteur a choisi de faire figurer un énoncé, quel qu’il soit. Que le tableau s’y raconte lui-même ou se fasse l’écho de la prose du monde, qu’il interroge l’acte de voir et la représentation, mette en cause l’existence de qui le regarde ou prenne celui-ci à témoin de la sienne, qu’il projette son spectateur (son vis-à-vis) dans l’imaginaire sans pour autant recourir à l’image, c’est bien toujours à lui, à nous, qu’il s’adresse. Quel que soit le registre adopté – grave ou drôle, poétique ou trivial, charmeur ou provocant – , un tel tableau suscite une situation de réflexivité et sans jouer au miroir, il me regarde, à savoir qu’il me rend mon regard autant qu’il me concerne. Plus encore qu’un autre, un tableau qui parle attend une réponse ; refusant le détour, il ne permet pas l’esquive.» Guitemie Maldonado.
07.2021
Deux scénarios pour Une collection présente un panorama exhaustif des œuvres récemment acquises par le Frac Normandie Rouen en proposant deux accrochages successifs dont les articulations et approches peuvent s’apparenter à deux scénarios distincts, à deux écritures.
Alors que le premier donne à voir, de manière sensible, différentes manières de représenter, mettre en scène le corps, la nature et la matière, le deuxième d’apparence plus conceptuelle, est guidé par la question du dispositif et agit comme un envers du décor.
Ma pièce Fracture II y est présentée.
Photo : Marc Domage / Frac Normandie – site de Rouen (2021).
Alors que le premier donne à voir, de manière sensible, différentes manières de représenter, mettre en scène le corps, la nature et la matière, le deuxième d’apparence plus conceptuelle, est guidé par la question du dispositif et agit comme un envers du décor.
Ma pièce Fracture II y est présentée.
L’exposition rassemble les oeuvres de :
Ingrid Berger, Katinka Bock, Mathieu Bonardet, Ulla Von Brandenburg, Broomberg & Chanarin, Lynne Brouwer, Thomas Cartron, Jagna Ciuchta, Le Collectif d’en Face, Anne Collier, Dominique De Beir, Morgane Fourey, Marina Gadonneix, Nikolaus Gansterer, Marc-Antoine Garnier, Agnès Geoffray, Geert Goiris, Joseph Grigely, Raphaël Grisey, Christophe Guérin, Florim Hasani, Albane Hupin, Pierre Joseph, Hiwa K, Barbara Kasten, Julien Lelièvre, Élodie Lesourd, Mac Adams, Manuela Marques, Mathieu Mercier, Marianne Mispelaëre, Géraldine Millo, Matan Mittwoch, Karl Nawrot, Constance Nouvel, Estefanía Peñafiel Loaiza, Aurélie Pétrel, Diogo Pimentão, Julien Prévieux, Isabelle Prim, Eileen Quinlan, Sébastien Rémy, Sébastien Reuzé, Sebastian Riemer, Gilles Saussier, Timothée Schelstraete, Joachim Schmid, Pierre Seiter, Slavs And Tatars, Cally Spooner, Éric Tabuchi, Laure Tiberghien, Julie Tocqueville, François Trocquet, Francisco Tropa, Thu-Van Tran, Frédéric Vaesen, Erik Van Der Weijde, Ian Wallace — Scénario 2 : Plan, image, séquence débutera le 3 juillet et durera jusqu’au 12 septembre au frac Normandie-Rouen01.2021
L’exposition très collective Varia, rassemblant les oeuvres de : Arthur Aeschbacher, Adam Adach, Bernard Aubertin, Denise Aubertin, Mathieu Bonardet, Frédéric Bruly-Bouabré, Nicolas Chardon, Alan Charlton, Mathieu Cherkit, Jean Claus, Vincent Corpet, Odonchimeg Davaadorj, Paul Armand Gette, Robert Heitz, Eugène Leroy, Maurice Marinot, Victor Mutale, Louis Nonis, Marielle Paul, Huang Yong Ping, François Ristori, David Scher, Michel Seuphor, Benjamin Swaim, Christelle Téa, Barthélémy Toguo, David Tremlett, Michel Verjux, Martin Wilner, Yan Pei-Ming et Sun Xue — débutera le 9 janvier et durera jusqu’au 27 février à la galerie Jean Brolly
01.2020
L’exposition Quelque chose noir dont le commissariat est assuré par Fanny Lambert est prolongée jusqu’au 31 janvier. Un catalogue paraîtra au printemps.